Sur la terrasse ronde que j’ai pavée de mes mains, j’ai planté, j’ai semé et j’ai laissé les semis spontanés se développer. Il y règne maintenant le joyeux fouillis dont je rêvais.
La mousse ne se développe pas autant que je l’espérais car il y a trop de soleil. L’acer griseum n’ombrage pas suffisamment la terrasse pour que la mousse s’y sente partout à sa place…
Mais mes petites vivaces et annuelles compensent largement.
J’ai planté la semaine dernière, entre les pavés, un petrorhagia saxifraga (oeillet des rochers).
Et une artemisia schmidtiana nana. Deuxième essais pour cette dernière. On verra si elle se plaît cette fois! En tout cas, entre les pavés, elle ne craindra plus l’humidité…
C’est une joyeuse ronde.
Très chouette article sur les habitants de nos zones dites « à mauvaises herbes » et surtout l’idée qu’on peut y introduire manuellement d’autres variétés pour créer un nouveau tableau « coin sauvage »… ça me parle…